Je suis trop stressé(e) en ce moment

 

Le stress fait partie intégrante de la vie mais si on ne peut maitriser tous les facteurs extérieurs ; on peut néanmoins apprendre à les gérer différemment ou à les voir sous un autre angle.
Maintenant, si votre vie est vraiment stressante :
Qu’est-ce qui la rend ainsi à vos yeux ?
Avez-vous nié vos besoins et dépassé vos limites ?
Etes-vous dans un boulot qui ne vous convient pas ?
Avez-vous trop d’activités en même temps ?

Orientez votre esprit vers le mode solution : « Que puis-je y faire ? », « Quelles mesures puis –je prendre pour améliorer ma qualité de vie ? », « Que puis-je entamer comme chemin pour mieux vivre mes émotions ? »

Songez que le comportement tabagique est en lui-même stressant et usant pour votre organisme. La lutte de votre corps contre ses conséquences consomme énormément d’énergie…
Alors pourquoi ne pas utiliser cette énergie à des tâches qui vous font du bien et vous ressourcent J ?

Je ne veux pas grossir, j’ai moins envie de manger quand je fume

Il est un fait que beaucoup se passe de manger ou de grignoter au profit d’une cigarette.
C’est vrai que le tabac accélère quelque peu le métabolisme et a un effet hyperglycémiant diminuant l’envie de sucre.
Maintenant, il faut savoir qu’environ un tiers des fumeurs, ne prennent pas de poids quand ils arrêtent, d’autres encore prennent entre 3 et 5 kilos. Ceux qui prennent plus, le font parce qu’il remplace la cigarette par de la nourriture et des grignotages. Ce n’est pas l’arrêt du tabac en lui-même qui génère ces kilos superflus. Si vous vous sentez déprimé, anxieux, triste, la tendance à avoir des compulsions alimentaires va être accrue d’où l’importance d’un suivi psychothérapeutique et / ou nutritionnel.

J’attends les vacances

Méfiez-vous de cet argument car qui dit vacances, dit prendre du bon temps et vivre avec le moins de contraintes possible ! Or arrêter de fumer demande un travail sur soi évident ; ça prend du temps, c’est une rigueur de chaque jour. Par ailleurs, si certaines cigarettes sont associées au stress, à l’ennui, à l’anxiété, d’autres sont aussi liées au plaisir, à la détente, au relâchement : rien ne dit que ce sera donc plus simple sous d’autres tropiques. Parfois, être très occupé aide à moins souffrir des symptômes de sevrage.
Arrêter de fumer est un projet de vie pas une diète de quelques jours …

Fumer me calme

Plein d’autres choses peuvent vous aider à être plus calme sans passer par une cigarette : faire de la relaxation, de la méditation, 5 minutes de cohérence cardiaque, parler à un ami bienveillant, faire une petite marche, lire…
Si l’anxiété vous guette en permanence ou si vous vous sentez dans un état dépressif, n’hésitez pas à demander de l’aide. Ne laissez pas la cigarette embrumer votre esprit et colmater vos émotions. Vos émotions sont une richesse et ont le droit de s’exprimer.

Fumer me donne de l’énergie

No Panic, le fait de se traîner un peu ne vous embêtera que quelques jours ; l’équilibre énergétique aura tôt fait de se rétablir après l’arrêt. Donnez-vous la permission de ralentir le rythme durant le sevrage car c’est une phase qui demande de l’attention et la mise en place d’outils bien-être. Une fois la victoire remportée votre élan et votre vitalité seront bien plus grands sans toxique. Garanti 😉

J’ai toujours fumé et je n’ai jamais été malade

 

Beaucoup de gens vivent selon ce principe et agissent comme si demain n’arrivera jamais. Etes-vous certain(e) de vouloir mettre votre vie en danger en vous basant sur cette philosophie ? Le temps ne vous attend pas et si un peu de poison chaque jour ne vous rend pas malade, le fait est qu’il continue à s’accumuler dans votre organisme insidieusement. Il m’arrive souvent d’évoquer la loi de gestation en parlant du chemin vers le bien-être : si je mets en place certaines pratiques pour aller mieux, les résultats ne sont pas toujours immédiats. Lorsqu’une graine commence à germer dans le sol, elle a un chemin à faire avant d’apparaître au grand jour et de fleurir. Malheureusement, il en est de même pour un processus de destruction : les symptômes ne sont pas toujours visibles tout de suite mais peuvent éclore d’un coup à un moment donné…

Il faut bien mourir de quelque chose

Oui, c’est vrai !
Mais est-ce vraiment ainsi que vous choisissez de mourir ?
Voulez-vous vraiment orienter consciemment votre mort vers les maladies associées au tabac ?
Si oui, vous ne devriez pas être sur ce site ;-)))))
Et bien sûr je respecte votre libre arbitre !

Et vous comment vous jouez-vous des tours pour reporter la fin du tabac dans votre vie ?
Quels arguments vous surprenez-vous à avoir ?

Florence
Pour potentialiser votre bien-être et vous aider à devenir la meilleure version de vous-même.

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